Appel Dr. Matthias Rath au Sécrétaire Général des NU, Antonio Guterres
Appel aux peuples et gouvernements du monde
Cette lettre ouverte vise à informer l’ONU et le monde entier sur les faits suivants :
Matthias Rath, M.D.
Antonio Guterres
Je suis le fondateur d’un Institut de Recherche indépendant sans but lucratif agissant dans le domaine des sciences médicales. Notre équipe de scientifiques et de médecins chevronnés a travaillé avec le double lauréat du prix Nobel, le regretté Linus Pauling. Le Dr. Pauling était l’un des scientifiques les plus éminents du 20e siècle. Il a notamment découvert les principes de l’immunologie, les structures de base des protéines, ainsi que la première maladie génétique connue, l’anémie falciforme. À la fin de sa vie, le Dr. Pauling s’est intéressé au rôle des micronutriments dans la lutte contre les maladies, notamment le virus de l’immunodéficience humaine (VIH) et d’autres maladies virales.
Au cours des deux dernières décennies, notre équipe de recherche a poursuivi ce travail de pionnier dans le domaine de la santé naturelle fondée sur la science. Notre fondation a promu des programmes d’éducation à la santé naturelle dans les écoles et pour le grand public dans de nombreuses régions du monde, y compris dans les pays en développement. Notre Institut de Recherche, sous la direction du Dr. Aleksandra Niedzwiecki, a validé des micronutriments spécifiques dans la lutte contre de nombreuses maladies humaines et a récemment ouvert la voie à des approches scientifiques efficaces pour le contrôle naturel de la pandémie de coronavirus.
Pourquoi je m’adresse à vous en tant que Sécrétaire Général des Nations Unies ?
Compte tenu de la rapidité des mutations des coronavirus, nos travaux ont une importance pour le monde entier, car ils montrent un moyen efficace d’inhiber les mutations des coronavirus, quels que soient les sous-types et les mutations.
En outre, les populations du monde entier s’inquiètent de l’augmentation du nombre de complications sanitaires graves liées à certains vaccins génétiques. Dans cette situation, il est impératif que les Nations Unies, ainsi que la communauté internationale dans son ensemble, fassent de la recherche d’une réponse sûre et mondialement acceptée à la pandémie une priorité absolue.
Par cette lettre, je vous informe officiellement, en tant que Secrétaire général des Nations Unies et, à travers vous, l’ensemble de l’organisation des Nations Unies, de cette nouvelle – et peut-être unique – approche efficace, sûre et applicable au niveau mondial pour mettre fin à la pandémie actuelle. Je reviendrai sur les détails de cette recherche révolutionnaire dans les paragraphes suivants de ma lettre.
Une autre raison pour laquelle je m’adresse à vous est le fait que, dans un récent discours devant le Conseil des droits de l’homme des Nations Unies (HRC), vous avez, en tant que Secrétaire général des Nations Unies, exprimé des préoccupations et alerté le monde sur les faits suivants
Vous avez déclaré : « le virus a prospéré parce que la pauvreté, la discrimination, la destruction de notre environnement naturel et d’autres manquements aux droits de l’homme ont créé d’énormes fragilités dans nos sociétés. »
Si votre liste de facteurs contribuant à la pandémie est correcte, elle n’est pas complète. En fait, la condition préalable la plus importante pour que les infections à coronavirus se transforment en une pandémie dévastatrice est une autre « pandémie » sous-jacente : depuis des décennies, une carence dans l’apport quotidien en vitamines et autres micronutriments affaiblit le système immunitaire de milliards de personnes sur notre planète et rend leur organisme sensible aux infections virales et autres maladies.
Nos recherches mettent en évidence ce lien : si les micronutriments sont capables de bloquer la voie d’infection des coronavirus, alors – selon les lois de la biologie et de la médecine – une carence en ces micronutriments crée la condition préalable à une susceptibilité accrue de la population mondiale à cette infection virale. Il est surprenant que vous ayez pu manquer ce lien important malgré les faits bien établis suivants:
2. Mettre fin au colonialisme pharmaceutique – la forme la plus malveillante de néocolonialisme.
Dans votre discours au Conseil des Droits de l’Homme, vous avez déclaré :
« Sous prétexte de la pandémie, les autorités de certains pays ont déployé des mesures de sécurité et d’urgence très strictes…. Une vaste bibliothèque d’informations est en train d’être constituée sur chacun d’entre nous. … Ces données sont utilisées à des fins commerciales – pour la publicité, le marketing et l’amélioration des résultats des entreprises. »
Si votre discours a correctement critiqué l’utilisation abusive de la pandémie de coronavirus par les entreprises et les gouvernements, il a omis de nommer spécifiquement les intérêts qui prévoient de resserrer leur emprise sur notre planète – les multinationales pharmaceutiques.
Si l’on ne fournit pas une analyse claire de cette stratégie d’entreprise et si l’on ne décrit pas ses conséquences mondiales dévastatrices pour les populations du monde, on ne pourra pas arrêter cette évolution funeste. Les peuples du monde méritent d’être informés de ces plans malveillants de contrôle des entreprises à l’échelle mondiale. La seule façon de faire dérailler ces plans et d’empêcher leur mise en œuvre est de les exposer au monde entier au grand jour. Vous, M. Guterres, partagez cette responsabilité et les faits contenus dans cette lettre sont rassemblés pour les mêmes raisons.
3. Mettre fin au colonialisme pharmaceutique – la forme la plus malveillante de néocolonialisme.
Dans un précédent discours devant le Conseil des Droits de l’Homme des Nations Unies, vous avez fait de la lutte contre toutes les formes de colonialisme une question personnelle en déclarant :
« J’ai grandi sous la dictature de Salazar au Portugal. Je n’ai connu la démocratie qu’à l’âge de vingt-quatre ans. J’ai grandi en voyant comment le déni des droits civils et politiques, mais aussi des droits sociaux, culturels et économiques, corrodait tous les aspects de la société. Il condamnait de nombreuses personnes à une vie de pauvreté… Et j’ai vu la dictature opprimer non seulement ses propres citoyens, mais aussi les peuples des colonies africaines, notamment en menant des guerres pendant 13 longues et sanglantes années. »
Si le colonialisme flagrant des siècles précédents a été largement remplacé par de nouveaux types de colonialisme. Ces formes de néocolonialisme sont moins flagrantes mais ont les mêmes conséquences dévastatrices pour les personnes qui vivent dans ces conditions. La forme la plus malveillante de néocolonialisme est le colonialisme pharmaceutique, car il crée une dépendance physique et économique derrière une fausse promesse d’aide.
Une pandémie causée par un virus à mutation rapide, tel que le coronavirus, représente une opportunité commerciale fantastique pour une multinationale pharmaceutique qui peut ainsi « augmenter ses bénéfices ». Pire, c’est aussi la stratégie la plus odieuse pour les principales nations exportatrices de produits pharmaceutiques – une poignée d’économies parmi les plus riches de notre planète – de cimenter et d’étendre systématiquement une dépendance économique croissante à l’égard de près de 200 pays moins fortunés.
Les stratégies actuelles de lutte contre la pandémie de coronavirus se concentrent uniquement sur les vaccins, ce qui pourrait nécessiter le développement de nouveaux vaccins pour chaque nouvelle mutation du virus. Compte tenu des dizaines, voire des centaines, de mutations du coronavirus susceptibles de se produire dans les années à venir, il est évident que les stratégies de santé mondiale fondées uniquement sur les vaccins sont une impasse. Si les nations riches peuvent être en mesure de faire face à ce défi pendant un certain temps, une telle stratégie à courte vue est synonyme de désastre humain et économique pour la grande majorité des pays en développement et des pays émergents. Tout déni de cette analyse qui donne à réfléchir ouvrira inévitablement la voie à cette catastrophe. L’ampleur de ce désastre mondial éliminera pratiquement tous les progrès vers un monde meilleur et plus égalitaire que les Nations Unies ont réalisés au fil des décennies.
La seule façon pour l’humanité d’échapper à une telle tragédie est de lancer une nouvelle stratégie sanitaire mondiale qui soit efficace, sûre, durable et, surtout, qui fournisse la base scientifique pour prévenir toutes les formes d’infections à coronavirus, quels que soient le sous-type et la mutation.
La base scientifique d’une telle stratégie sanitaire universelle est désormais disponible et peut être mise en œuvre immédiatement partout dans le monde.
1. Résumé de la percée scientifique
Depuis le début de la pandémie actuelle, la communauté internationale de la recherche s’est concentrée sur la mise au point d’un vaccin capable de bloquer la liaison du coronavirus à l’ancrage viral et à la « porte d’entrée » à la surface des cellules humaines – le récepteur ACE2 – par lequel le virus infecte le corps humain.
Ainsi, notre équipe de recherche a choisi une approche scientifique qui promet de protéger les peuples du monde contre potentiellement toutes les mutations du coronavirus – actuelles et futures. Pour atteindre cet objectif, nous avons dû identifier :
C’est un fait scientifique que tous les coronavirus connus utilisent la même porte d’entrée (le récepteur ACE 2) pour infecter le corps. Ainsi, notre première approche a été de trouver un moyen de réduire la production /expression des récepteurs de surface cellulaire ACE2. Nous avons constaté qu’une combinaison spécifique de vitamines et d’autres micronutriments était en mesure d’inhiber considérablement (réduire) l’expression de ces récepteurs viraux ainsi que d’inhiber d’autres mécanismes importants des infections à coronavirus.
Il n’y a qu’une seule catégorie de molécules qui peut accomplir la tâche de réguler le métabolisme cellulaire de manière à réduire la production de structures cellulaires nécessaires pour l’infection par le coronavirus (récepteurs ACE2), ainsi que de freiner la machinerie des catalyseurs biologiques (enzymes) qui sont détournés par le virus afin de se répliquer dans les cellules humaines. Ces molécules réglementaires sont connues sous le nom de micronutriments et comprennent des vitamines, des minéraux et certaines autres substances naturelles.
Nos études approfondies ont déterminé les molécules bioactives les plus efficaces dans la défense contre l’infection par le coronavirus des cellules humaines. Nos recherches ont établi que ces molécules naturelles étaient les plus efficaces pour interférer avec les mécanismes clés des infections coronavirus lorsqu’elles étaient utilisées dans des combinaisons spécifiques qui permettent aux différents composants d’interagir synergiquement.
Des combinaisons spécifiques de micronutriments sont en mesure d’inhiber de manière significative tous les mécanismes clés connus des infections coronavirus simultanément, y compris:
La supériorité de cette nouvelle approche visant à renforcer la protection des cellules humaines contre toutes les mutations des coronavirus – par rapport aux stratégies vaccinales axées sur un seul sous-type de coronavirus – est si évidente qu’elle peut être comprise même par un élève adolescent. La logique scientifique convaincante qui sous-tend cette nouvelle stratégie de santé mondiale est résumée dans les informations sanitaires suivantes, qui peuvent être utilisées dans les écoles du monde entier.
Cette page d’information sur la santé résume la percée scientifique en matière de santé naturelle vers la lutte contre la pandémie du coronavirus. Elle devrait être transmise par l’ONU à tous les États membres pour distribution mondiale.
En outre, cette information potentiellement salvatrice peut être téléchargée par n’importe qui, n’importe où dans le monde, pour être affichée dans les maisons, les écoles, les autres établissements d’enseignement, les hôpitaux, les cabinets de médecins, dans les magasins et les usines.
Les détails scientifiques de cette recherche exhaustive ont été publiés dans des revues scientifiques évaluées par des pairs et d’autres, et sont accessibles au public via le site Internet de notre Institut de Recherche via https://drrathresearch.org/.
Cette recherche révolutionnaire est en outre validée par la première étude clinique démontrant que la vitamine C à haute dose est capable non seulement de prévenir les infections coronavirus, mais aussi de réduire de moitié le taux de mortalité des patients gravement infectés et hospitalisés du coronavirus – un effet non documenté pour l’un des vaccins actuels ou des médicaments pharmaceutiques.
Au nom de toute notre équipe de recherche, je vous informe, en tant que Secrétaire Général, de tout le système des Nations-Unies, ainsi que des décideurs politiques et du peuple du monde entier au sujet de cette percée scientifique.
À la lumière de l’explosion des mutations du coronavirus – et des préoccupations croissantes en matière d’innocuité au sujet des vaccins disponibles – cette avancée scientifique est une lueur d’espoir pour l’humanité. Il appelle à une campagne mondiale réunissant toute l’humanité dans un effort pour mettre fin à la pandémie de coronavirus une fois pour toutes.
Notre équipe de recherche est prête à partager gratuitement tout notre savoir-faire avec n’importe quelle organisation publique partout dans le monde.
Les conséquences mondiales les plus importantes de cette percée scientifique sont les suivantes :
a contribué directement ou indirectement à l’émergence de la pandémie actuelle de coronavirus. Ils partagent donc la responsabilité des conséquences physiques, économiques et sociales de cette catastrophe humaine – et peuvent être tenus responsables devant les tribunaux nationaux et internationaux de leurs actes.
Les conséquences de cette analyse qui donne à réfléchir sont de grande portée et appellent à un examen plus détaillé du contexte de la crise mondiale actuelle.
L’histoire nous enseigne que la seule façon pour l’humanité d’éviter de répéter ses heures les plus sombres est d’avoir une meilleure conscience de son propre passé. Afin de comprendre la crise mondiale actuelle – et la négligence délibérée des approches scientifiques en matière de santé naturelle dans le cadre de la solution – les gouvernements et les peuples du monde devraient être conscients des faits suivants:
1. Le modèle économique de l’activité d’investissement pharmaceutique
En Europe, en Amérique et dans de nombreux pays asiatiques, les soins de santé sont largement dominés par l’influence d’intérêts privés géants, à savoir l’industrie pharmaceutique d’investissement.
Alors que cette industrie se présente comme le fournisseur de la médecine moderne et des soins de santé dans le monde entier, un examen plus étroit de son modèle économique offre une perspective tout à fait différente:
Les lois de l’industrie pharmaceutique
En conséquence, des milliards de personnes dans le monde souffrent de carences chroniques en micronutriments. Comme nous le verrons, cela a entraîné des déficiences immunitaires généralisées et est devenu une condition préalable au développement de la pandémie actuelle.
Une histoire plus détaillée de l’industrie pharmaceutique d’investissement – des deux côtés de l’Atlantique – est documentée dans les livres d’Histoire ainsi que dans les commentaires en ligne.
Avant de revenir à la situation actuelle, il est nécessaire d’examiner de plus près la stratégie d’affaires de l’activité d’investissement pharmaceutique au cours du dernier siècle et d’examiner ses principales parties prenantes corporatistes et gouvernementales.
1. Suppression de l’information naturelle sur la santé comme condition préalable au développement de l’industrie des médicaments brevetés en une industrie d’investissement de plusieurs milliards de dollars
La condition préalable à la croissance de l’industrie pharmaceutique en une activité d’investissement de plusieurs billions de dollars au cours du siècle dernier a été la suppression systématique des approches non brevetables en matière de santé naturelle. Cela comprenait l’interdiction de l’information sur la santé naturelle et l’établissement de « niveaux quotidiens maximaux » arbitrairement bas pour les micronutriments dans les suppléments. Cela, à son tour, a supprimé la recherche en santé naturelle, éliminé l’éducation de santé naturelle salvatrice des facultés de médecine et empêché sa diffusion au grand public.
L’aboutissement de ces efforts a été un effort coordonné visant à mettre en œuvre une interdiction mondiale des micronutriments et d’autres thérapies naturelles par la commission dite codex Alimentarius, coordonnée par le gouvernement allemand et donnée une image pseudo-légitime grâce à la participation de l’Organisation Mondiale de la Santé (OMS) et de l’Organisation des Nations Unies pour l’Alimentation et l’Agriculture (FAO).
Nous devons donc nous pencher sur la question suivante : pourquoi le gouvernement allemand – parmi tous les pays – tente-t-il de coordonner la suppression mondiale de l’information sur la santé naturelle depuis plus d’un demi-siècle maintenant?
Depuis plusieurs décennies, l’Allemagne est le premier pays exportateur de produits pharmaceutiques au monde. Aujourd’hui, elle est toujours en première place, représentant environ 20% de toutes les exportations mondiales de médicaments. À partir des années 1860, trois géants pharmaceutiques ont évolué, BAYER, BASF et Hoechst (aujourd’hui filiale du groupe français Sanofi-Aventis) qui possédaient déjà au début du XXe siècle des dizaines de milliers de brevets sur des médicaments et des produits chimiques nouvellement synthétisés.
Pour gouverner le monde, ces sociétés ont décidé d’étendre d’abord le droit allemand des brevets à d’autres pays européens, et finalement au reste du monde. Le moyen le plus rapide d’atteindre cet objectif a été la conquête militaire, suivie de la prise de contrôle du système juridique et administratif allemand dans les pays conquis. À cette fin, en 1914, ils ont chargé l’empereur allemand de lancer la Première Guerre Mondiale – et lui ont fourni tous les matériaux essentiels à la guerre, y compris les agents de guerre chimique (gaz moutarde et autres).
En 1925, après la première tentative de conquête du monde, la Première Guerre Mondiale, avait échoué, ces mêmes compagnies pharmaceutiques chimiques ont formé le tristement célèbre cartel « IG Farben » pour mieux coordonner sa prochaine tentative de conquête du monde. À cette fin, Bayer, BASF et d’autres membres d’IG Farben sont devenus le principal sponsor corporatif de la montée au pouvoir du parti nazi allemand. Comme l’a documenté par la suite le Tribunal des crimes de guerre de Nuremberg, ils ont fourni – comme pendant la Première Guerre Mondiale – 100 % de la poudre à canon (TNT), de l’essence, du caoutchouc et d’autres matériaux essentiels à la guerre pour la conquête militaire de l’Allemagne. En échange de cet « investissement », les entreprises IG Farben sont devenues les nouveaux propriétaires de toutes les grandes industries dans les pays conquis par leur coalition avec l’armée allemande.
Devant le Tribunal des crimes de guerre de Nuremberg, affaire N° VI, deux douzaines de cadres de BAYER et BASF ont été condamnés pour meurtres de masse, esclavage, spoliation et autres crimes contre l’humanité. Les procureurs américains dans ce procès historique ont conclu que sans IG Farben, la Seconde Guerre mondiale n’aurait pas été possible.
Le Tribunal des crimes de guerre de Nuremberg a également documenté que BAYER et les autres sociétés d’IG Farben avaient abusé de détenus innocents d’Auschwitz et d’autres camps de concentration allemands en tant que cobayes humains afin de tester leurs médicaments brevetés nouvellement synthétisés. Des photos de ces médicaments, y compris leurs logos d’entreprise, faisaient l’objet d’expositions officielles contre IG Farben au Tribunal des crimes de guerre de Nuremberg.
Les documents mettent à nu les intérêts corporatifs et politiques qui se chevauchent. Les procureurs américains de Nuremberg ont décrit les relations étroites entre IG Farben et le gouvernement nazi comme une « alliance », un « mariage » et des termes similaires. En outre, les dossiers du tribunal de Nuremberg ont établi que, essentiellement, les filiales corporatives de BAYER et d’autres sociétés IG Farben dans plus de 100 pays du monde servaient de centres stratégiques pour planifier et aider à la conduite de cette conquête militaire mondiale.
Dans sa déclaration liminaire contre IG Farben au Tribunal des crimes de guerre de Nuremberg, Telford Taylor, le procureur en chef des États-Unis n’a laissé aucun doute sur le fait que les multinationales chimiques et pharmaceutiques allemandes ont été le moteur de la montée du parti nazi et de la Seconde Guerre mondiale comme une tentative de conquête du monde.:
« Leur but [de ces compagnies] était de transformer la nation allemande en une machine militaire et de la construire en un moteur de destruction si terrifiant que l’Allemagne pourrait, par des menaces brutales et, si nécessaire, par la guerre, imposer sa volonté et sa domination sur l’Europe, et, plus tard, sur d’autres nations au-delà des mers. »
En outre, pour coordonner les préparatifs de la conquête du monde avec le gouvernement nazi, IG Farben a maintenu un géant « bureau de liaison » à Berlin, sous le nom de code « Berlin Nord-Ouest 7 ». Les détails du travail de cette coordination entre les entreprises et l’armée sont documentés dans les dossiers de l’affaire du Tribunal des crimes de guerre contre IG Farben.
Après sa défaite pendant la Seconde Guerre mondiale, l’Allemagne – sous administration alliée – a reçu une constitution démocratique. De manière significative, cependant, pour les premières décennies décisives de la nouvelle République fédérale, beaucoup de ses décideurs politiques avaient précédemment servi la tentative nazie/IG Farben de conquête du monde. Hans Globke – sous l’administrateur principal du Troisième Reich des pays occupés et co-auteur des lois raciales allemandes infâmes – est devenu un architecte clé de la « nouvelle Allemagne » en tant que premier chef de la chancellerie responsable de toutes les réglementations exécutives de la constitution ouest-allemande. Walter Hallstein – qui, pendant les années nazies, avait été un planificateur clé du nouveau système juridique et administratif dans les pays conquis par la coalition nazie/IG Farben – est devenu l’architecte en chef de la politique étrangère allemande et un « père fondateur » de la Communauté Economique Européenne, précurseur de l’actuelle Union Européenne de Bruxelles.
Mais ces individus n’étaient que les sommets de l’iceberg. Tous les secteurs de l’administration politique, sociale et même militaire de la République Fédérale d’Allemagne nouvellement fondée a été pénétrée par une «vieille élite » – qui avait échappé à tous les efforts de dénazification. Ensemble, ils ont fait en sorte que, derrière un nouveau voile de démocratie, les anciens intérêts corporatistes de l’industrie chimique et pharmaceutique allemande fleurissent, et se soient préparés à leur prochaine tentative de conquête du monde.
Une condition préalable à la réussite de cette stratégie était, bien sûr, que le passé criminel de l’industrie pharmaceutique chimique allemande à l’origine de deux guerres mondiales devait être systématiquement banni des manuels de l’histoire et de la mémoire commune de l’humanité. Pour atteindre cet objectif, les nouveaux acteurs politiques de ces intérêts corporatistes ont dépensé des milliards pour réécrire la Seconde Guerre Mondiale comme une guerre raciale – cachant ainsi délibérément le rôle d’IG Farben comme force économique motrice de cette guerre.
Après l’échec de leur deuxième tentative de conquête du monde, la Seconde Guerre mondiale, l’industrie chimique et pharmaceutique allemande et ses acteurs politiques ont mis au point un nouveau plan de conquête du monde , utilisant cette fois principalement des moyens politiques et économiques. La première étape de leur nouvelle stratégie a été d’établir une domination économique et politique sur l’Europe – et sur cette base de faire une nouvelle tentative de conquête du monde des entreprises. Il s’agissait de l’heure de naissance de l’«Union Européenne» susmentionnée , également connue sous le nom de «UE de Bruxelles».
Aujourd’hui, l’industrie d’investissement pharmaceutique a transformé l’ensemble du continent européen en une plaque tournante de l’exportation de ses marchandises vers le monde. Comme on pouvait s’y attendre, l’UE de Bruxelles représente aujourd’hui non seulement les intérêts de l’industrie pharmaceutique d’exportation allemande, mais aussi les intérêts économiques et politiques d’environ les trois quarts des activités mondiales d’exportation de produits pharmaceutiques. Alors que cette organisation défile comme un « phare de la démocratie » sur la scène mondiale actuelle, il fonctionne dans la tradition du bureau de coordination IG Farben seconde guerre mondiale « Berlin Nord-Ouest 7 », et fonctionne essentiellement actuellement comme le coordinateur politique des entreprises mondiales d’exportation pharmaceutique.
Le fait que l’UE de Bruxelles ait été conçue et construite en utilisant les plans d’une Europe conçue par la coalition nazie/IG Farben – après la victoire de la Seconde Guerre mondiale est particulièrement déconcertant. Cette construction politique européenne est dirigée par un groupe de « commissaires » non élus. Elle utilise une armée de plus de 50 000 bureaucrates, tous payés par les contribuables européens. Cet appareil d’entreprise/politique géant – le plus grand bureau de coordination d’intérêts des entreprises au monde – se cache derrière une structure pseudo-démocratique, un soi-disant « Parlement Européen », qui n’a même pas les droits démocratiques les plus fondamentaux, par exemple le droit d’adopter une législation.
L’architecte en chef de cette construction, qui pendant neuf ans – après sa création en 1957 – a occupé le poste de président non élu de sa Commission – a été le susnommé Walter Hallstein, un avocat et politicien allemand qui a échappé à sa condamnation comme criminel de guerre seulement en niant son lien avec le « Troisième Reich » aux autorités alliées de dénazification. Hallstein avait été un représentant légal officiel de l’État nazi lors d’une conférence décisive à Rome en 1938, un an avant le début de la Seconde Guerre mondiale, où les gouvernements fasciste allemand et italien ont planifié le visage d’après-guerre de l’Europe sous leur règne.
Deux décennies plus tard, le même Walter Hallstein signa le traité de Rome, document fondateur de l’Union Européenne actuelle, comme l’un de ses 12 pères fondateurs.
Dans l’esprit de ces pères fondateurs, l’UE de Bruxelles poursuit aujourd’hui l’objectif centenaire de conquête mondiale au nom de l’activité d’investissement chimique/pharmaceutique. À cette fin, elle plaide pour des « accords de libre-échange » avec d’autres organisations régionales telles que le Mercosur, l’Union Africaine et d’autres. Sous prétexte de promouvoir et d’harmoniser le commerce, ces « accords » élargissent l’emprise protectionniste de l’activité d’investissement pharmaceutique sur les gouvernements et des centaines de millions de personnes ordinaires dans le monde entier.
Il ne faut pas un diplôme en affaires ou en politique pour comprendre qu’en représentant les intérêts économiques d’une entreprise d’exportation pharmaceutique de plusieurs milliards de dollars, l’«UE de Bruxelles» cherche à cimenter et à élargir ces intérêts dans le monde entier. Ainsi, l’«UE de Bruxelles » fonctionne également comme le bureau politique mondial pour la poursuite du colonialisme pharmaceutique.
a. De quel côté l’ONU se tient-elle?
En février 2021, vous, Monsieur Guterres, avez mis votre nom sur un document intitulé Coopération multilatérale pour le développement mondial. Les autres signataires étaient des représentants politiques des plus grands pays exportateurs de produits pharmaceutiques du monde, parmi eux Angela Merkel (Allemagne), Emmanuel Macron (France), Charles Michel (Belgique, président du « Conseil européen », Ursula von der Leyen (Allemagne, présidente de la Commission européenne). Dans cette lettre très médiatisée, vous appelez à une distribution plus rapide des vaccins brevetés aux pays en développement. Bien qu’un tel appel puisse être considéré par certains comme un soutien aux personnes vivant dans le monde en développement, sa liste de signataires le montre sous un autre jour. Votre nom, en tant que Secrétaire général de l’ONU – aux côtés des parties prenantes politiques des intérêts des entreprises représentant les trois quarts de l’industrie mondiale de l’exportation de médicaments – pourrait se transformer par ces intérêts corporatistes en un nouvel abus de l’ONU en tant qu’organisation internationale crédible.
Un appel pour la coopération multilatérale pour le redressement mondial
Les politiciens représentant déjà les trois quarts des exportations mondiales de médicaments pharmaceutiques s’adressent au monde en faveur d’une augmentation des exportations de médicaments. De gauche à droite : Emmanuel Macron (France), Ursula von der Leyen (UE), Charles Michel (Belgique) et, à l’extrême droite, Angela Merkel (Allemagne). Le Président du Sénégal Macky Sall et vous-même, en tant que Secrétaire général de l’ONU, pouvaient à peine masquer les intérêts économiques de cet « Appel ». Source: ONU, février 2021.
La seule explication pour laquelle vous, en tant que plus haut représentant des Nations Unies, pourriez mettre votre nom sur un document qui – sans doute – sera abusé pour promouvoir le colonialisme pharmaceutique, est que certains soi-disant «experts» vous ont fait croire que les vaccins sont le seul moyen scientifique de mettre fin à la pandémie.
Toutefois, et comme nos documents de recherche le prouvent sans équivoque, cette affirmation ne peut plus être confirmée. Désormais, quiconque tente de faire croire au peuple à une stratégie « vaccinale seulement » répand des « fake news » et n’agit pas dans l’intérêt des peuples du monde – ils ne font que soutenir le colonialisme pharmaceutique.
b. Les lois du colonialisme pharmaceutique
Les principes du colonialisme pharmaceutique sont aussi faciles à comprendre que les lois susmentionnées de l’«industrie d’investissement pharmaceutique»:
c. Les conséquences du colonialisme pharmaceutique
Bien que ces principes du colonialisme pharmaceutique puissent sembler abstraits pour certains, leurs conséquences sont évidentes.
Mettez-vous dans la peau…
d’un actionnaire ou d’un dirigeant important d’une multinationale pharmaceutique. Il suffit d’apprendre qu’un virus en mutation rapide, le coronavirus, menace la santé des gens dans essentiellement tous les pays du monde. Mais vous savez aussi qu’à chaque nouvelle mutation virale, un nouveau vaccin spécifique deviendra nécessaire. Votre société pharmaceutique détient les brevets d’un tel vaccin et les ventes de cette marchandise augmenteront inévitablement votre chiffre d’affaires.
Vous vous rendez compte que vous pouvez tirer parti de ces mutations futures en produisant un nombre potentiellement illimité de vaccins contre eux. En rendant les pays du monde dépendants de l’industrie pharmaceutique de cette façon, vous pouvez progressivement les drainer économiquement et, par conséquent, mettre beaucoup de nations les plus pauvres sous votre total contrôle.
Il n’y a que quelques conditions préalables à cette « prise de contrôle » stratégique mondiale au nom des intérêts des entreprises dans ce modèle de pensée:
En ce moment décisif de l’histoire, il est avant tout de votre responsabilité, Monsieur le Secrétaire général, de souligner au monde les graves dangers du colonialisme pharmaceutique et de sa forme particulièrement malveillante, qui abuse de la pandémie actuelle de coronavirus comme « prétexte ».
Dans ce contexte, cette lettre ouverte a une signification particulière non seulement en critiquant le statu quo – mais aussi en offrant la seule stratégie scientifique pour assurer une santé durable même dans les pays les plus pauvres, et, par conséquent, pour éviter une spirale fatale de dépendance néocoloniale pour la grande majorité de la population mondiale.
d. Ils l’ont déjà fait : le colonialisme pharmaceutique sous prétexte de lutter contre la pandémie du VIH/sida
Ce n’est pas la première fois que la santé humaine mondiale est attaquée par des intérêts pharmaceutiques sous prétexte de lutter contre une pandémie. Un exemple particulièrement bien documenté a été la pandémie du syndrome d’immunodéficience acquise (VIH/SIDA).
Depuis plus de trois décennies, les lobbyistes de l’industrie pharmaceutique ont induit en erreur les décideurs politiques du monde – en particulier dans les pays en développement les plus durement touchés par la pandémie du VIH/sida – en leur faisant croire que la seule façon de la combattre serait de dépenser des milliards de dollars pour importer des « médicaments antiviraux ».
Ni les politiciens ni les habitants des pays touchés par cette pandémie n’ont réalisé que le terme « médicament antiviral » n’était qu’un code pour vendre des agents chimio thérapeutiques toxiques sous forme de comprimés. L’étiquetage correct de ces médicaments comme « chimiothérapie » aurait entraîné leur rejet, bien sûr, parce qu’il est bien connu que ces substances toxiques endommagent et finissent par détruire la moelle osseuse – le site même de production des cellules immunitaires ( leucocytes) dans le corps humain.
Avec cette astuce méprisable, une armée de lobbyistes mondiaux pour l’industrie pharmaceutique d’exportation est devenue responsable de dizaines de millions de personnes qui souffraient déjà de déficiences immunitaires étant donné des médicaments toxiques qui, au lieu d’améliorer leur système immunitaire, l’a encore affaibli, activant ainsi le sida et raccourcissant leur vie.
Ce n’est qu’en 2013, une génération entière après le début de la pandémie, que le monde a appris comment le moyen le plus efficace de retarder le développement de la maladie de l’immunodéficience sida était d’assurer un apport optimal en micronutriments. Les résultats d’une étude épidémiologique clinique à grande échelle ont été publiés en novembre 2013 dans le Journal of the American Medical Association et ont conclu:
« Ces données appuient l’utilisation d’une supplémentation spécifique en micronutriments comme intervention efficace chez les adultes infectés par le VIH aux premiers stades de la maladie du VIH, réduisant considérablement le risque de progression de la maladie. Cette réduction du risque peut se traduire par un retard dans le temps où les patients infectés par le VIH sont atteints d’un dysfonctionnement immunitaire et par un accès plus large au traitement du VIH dans les pays en développement.
Mais les avantages préventifs et thérapeutiques des micronutriments dans la lutte contre la pandémie du sida n’étaient pas le seul domaine de la médecine où ces substances naturelles se sont avérées tout aussi efficaces par rapport aux médicaments pharmaceutiques brevetés ou même supérieures.
Dans votre discours devant le Conseil des Droits de l’Homme, vous avez accusé les entreprises d’utiliser la pandémie actuelle comme un « prétexte ». La cupidité des entreprises – ou comme vous l’avez appelée « l’augmentation des résultats » – était l’un des motifs que vous avez donnés pour étayer cette accusation publique.
Bien que cette analyse ne soit pas erronée, elle ne suffit pas à expliquer la portée et l’agressivité mondiales par lesquelles une armée de lobbyistes de l’industrie pharmaceutique d’exportation tente actuellement de manipuler l’opinion mondiale pour faire accepter les vaccins comme seul espoir pour l’humanité.
1. Une explosion des connaissances en santé naturelle fondée sur la science
Ce qui est en jeu pour le secteur de l’investissement pharmaceutique, ce n’est pas seulement le résultat net de quelques entreprises, mais la survie globale de son modèle économique de plusieurs milliards de dollars.
En analysant ce modèle économique, nous savons que la plus grande menace pour son existence future est la concurrence des approches de santé non brevetables, en particulier les preuves scientifiques et cliniques croissantes pour les avantages importants pour la santé des micronutriments.
La deuxième décennie du 21èmesiècle a été caractérisée par une explosion de publications scientifiques montrant les avantages écrasants des vitamines et autres micronutriments dans tous les domaines de la médecine. Un examen plus étroit de l’augmentation du nombre de publications sur les bienfaits des vitamines pour la santé révèle leur menace stratégique pour le secteur des médicaments brevetés.
Nombre total d’études scientifiques publiées à l’échelle mondiale sur les bienfaits pour la santé des vitamines/micronutriments dans la prévention et le traitement des maladies cardiaques et cardiovasculaires (A), du cancer (B) et des maladies infectieuses (C). Les colonnes de chaque graphique représentent les quatre dernières décennies(1980 à 1989/1990 à 1999/2000 à 2009/2010 à 2019).
Ces graphiques ne reflètent pas seulement des développements abstraits, mais ont une importance pour la santé et la vie de millions de personnes dans le monde. Voici deux exemples de l’impact profond que cette évolution aura sur la vie de chaque être humain sur cette planète:
2. La libération de la santé humaine
La structure et les fonctions biologiques essentielles de la plupart des vitamines ont été découvertes il y a près d’un siècle et par la suite reconnues par plusieurs prix Nobel. Comment se fait-il que le rôle préventif et thérapeutique de ces molécules biologiques – le carburant de base de milliards de cellules dans notre corps – soit resté inexploré pendant de nombreuses décennies ?
Cela s’est produit principalement pour des raisons économiques. Comme nous l’avons souligné plus haut, ces molécules naturelles, non brevetables, représentaient une menace fondamentale pour l’activité d’investissement pharmaceutique naissante au tournant du 19e et du 20e siècle, qui dépendait entièrement de la brevetabilité des médicaments.
Comme condition préalable à la croissance de cette industrie de l’investissement, il est devenu nécessaire pour elle de construire une armée mondiale de lobbyistes dans les médias, la médecine et la politique pour éliminer la concurrence des approches de santé naturelle. Ainsi, au fil des décennies, l’objectif principal de ces lobbyistes a été de s’assurer que les bienfaits des vitamines pour la santé soient exclus du cursus pédagogique médical, publiquement discrédités – voire interdits par la loi.
Comme on pouvait s’y attendre, les dirigeants politiques à l’origine de l’interdiction mondiale des vitamines et d’autres approches de santé naturelle étaient les décideurs politiques de l’Allemagne et d’autres pays exportateurs de produits pharmaceutiques, dont beaucoup avaient été portés au pouvoir par des intérêts pharmaceutiques.
Pendant trois décennies complètes, cette interdiction mondiale des thérapies vitaminiques a supprimé la recherche et l’éducation en santé naturelle dans le monde entier. Les médecins et les scientifiques opposés à cette suppression étaient souvent menacés de radiation et de poursuites pénales. Le climat psychologique dominant de la peur a empêché la recherche salvatrice en santé naturelle pendant des décennies et, par conséquent, a condamné des centaines de millions de personnes dans le monde entier à mort de maladies évitables.
Finalement, les intérêts de millions de personnes ont commencé à prévaloir. En 1994, le Congrès des États-Unis a adopté à l’unanimité la Dietary Supplement Health and Education Act (DSHEA), une loi qui permettait de faire la publicité d’informations scientifiques sur la santé naturelle, sur la prévention et le traitement des maladies. Pour des millions de personnes aux États-Unis et au-delà, cette législation est devenue célèbre sous le nom de « Vitamin Freedom Act ».
Les efforts déployés par les responsables politiques des pays exportateurs de produits pharmaceutiques pour se défaire de cette législation – par l’intermédiaire de l’UE de Bruxelles au niveau européen et de la commission Alimentarius du Codex au niveau international – ont essentiellement échoué. Cela a déclenché une explosion de la recherche en santé naturelle dans le monde entier, un développement qui a été adopté par un nombre croissant de personnes dans le monde entier à la recherche d’alternatives aux médicaments pharmaceutiques qui sont souvent associés à des effets secondaires graves.
3. 2020 – Une oreille charnière pour l’entreprise d’investissement pharmaceutique
L’explosion des connaissances sur l’utilisation des vitamines et autres micronutriments dans tous les domaines de la médecine a culminé en janvier 2020. Ce mois-là, le plus grand établissement de recherche sur le cancer au monde, le National Cancer Institute (NCI) des États-Unis, a publiquement préconisé l’utilisation de la vitamine C à haute dose dans la prévention et le traitement de tous les types de cancer.
Cette publication marquait le retournement d’un blocus de plus d’un siècle sur l’utilisation des vitamines dans la lutte contre le cancer. En outre, elle ne signifiait rien de moins qu’une déclaration de guerre contre les intérêts des investissements pharmaceutiques : les ventes annuelles de chimiothérapie et d’autres produits anticancéreux brevetés avaient franchi la barre des 150 milliards de dollars et étaient devenues la catégorie de produits la plus importante de cette industrie.
Pour les parties prenantes de l’industrie d’investissement pharmaceutique, les conséquences de cet événement décisif étaient évidentes. S’elles autorisaient le message selon lequel une substance naturelle non brevetable, la vitamine C, est la clé de la lutte contre le cancer, ce message se répandrait rapidement auprès des médecins et finalement auprès de la population mondiale. Le résultat inévitable serait l’implosion du marché des investissements pharmaceutiques dans les médicaments contre le cancer. En outre, les bienfaits des vitamines et autres micronutriments pour la santé contre le cancer provoqueraient un effet domino et finiraient par menacer également les marchés mondiaux des médicaments pharmaceutiques brevetés pour d’autres maladies. Cette évolution garantirait la fin des investissements dans le secteur pharmaceutique.
Vous savez certainement que les industries chimiques, pétrochimiques et pharmaceutiques mondiales sont essentiellement contrôlées par les mêmes groupes d’investissement internationaux. Déjà confrontés à une baisse significative de leurs activités pétrolières en raison de la prise de conscience environnementale croissante et de l’essor des énergies renouvelables, ces groupes ne pouvaient pas laisser s’effondrer un autre marché mondial de plusieurs milliards de dollars, celui des médicaments brevetés.
Le remplacement imminent du marché mondial des médicaments pharmaceutiques synthétiques par des approches de santé naturelles fondées sur la science est devenu une menace claire et actuelle pour tous les investisseurs, cadres et lobbyistes du secteur de l’investissement pharmaceutique dans le monde, au début de 2020.
Imaginez…
Pour illustrer la dimension de cette menace, n’importe qui peut se mettre dans la peau d’un cadre de BAYER à l’époque. Il suffit d’apprendre que le National Cancer Institute du gouvernement américain a recommandé d’inclure la vitamine C à haute dose dans le traitement de tous les types de cancer. Votre analyse de ce que cette annonce signifie pour BAYER inclut inévitablement l’histoire de plus de 150 ans de votre entreprise.
En 1904, le président de BAYER a déclaré dans un mémorandum que l’industrie chimique et pharmaceutique allemande était supérieure à celle de tous les autres pays et devait essentiellement dominer le monde. Dix ans plus tard, votre entreprise a décidé d’aider à atteindre cet objectif et est devenue la force motrice économique derrière la Première Guerre mondiale et le principal fournisseur de matériaux de guerre essentiels. À cette fin, BAYER a même contribué à sa dernière invention, le gaz moutarde, comme arme de guerre chimique et de génocide sur le champ de bataille.
Après l’échec de cette première tentative de conquête du monde. Vous n’avez pas abandonné. Vous avez décidé de modifier un atome dans la structure chimique du gaz moutarde en remplaçant le soufre (S) par l’azote (N). Vous avez ainsi transformé une arme de destruction massive, le gaz moutarde, en premier médicament de chimiothérapie, également connu sous le nom de moutarde azotée, censée combattre la leucémie et d’autres cancers.
Grâce à l’argent que vous avez gagné grâce à la vente de ce nouveau médicament de chimiothérapie et d’autres produits chimiques brevetés, vous avez formé – avec d’autres compagnies chimiques et pharmaceutiques allemandes – un cartel d’entreprises qui, en 1925, avait déjà plus de 80 000 employés et était devenu la plus grande entreprise chimique et pharmaceutique au monde.
Maintenant, vous vous êtes préparé pour la prochaine tentative de conquête du monde: au début des années 1930, BAYER, BASF et d’autres entreprises allemandes sont devenues les plus grands commanditaires corporatifs de l’ascension du parti nazi au pouvoir et la préparation technique et logistique pour mener une conquête mondiale. Pendant la Seconde Guerre Mondiale, votre entreprise a fait des milliards de gains en fournissant presque tous les matériaux de guerre essentiels à l’armée nazie.
Après cette deuxième tentative de conquête mondiale au nom de votre entreprise mondiale avec des produits chimiques brevetés / médicaments avait échoué, deux douzaines d’administrateurs de vos sociétés cartel où inculpé de subir son procès au Tribunal des crimes de guerre de Nuremberg. Ter Meer, directeur de BAYER, a été condamné, avec 12 autres cadres, à des peines de prison pour avoir commis des meurtres de masse et d’autres crimes contre l’humanité. À sa connaissance, les employés de BAYER avaient mené des expériences sur des détenus innocents de camps de concentration afin de tester les nouveaux médicaments et vaccins brevetés de l’entreprise..
Mais même cette condamnation pour avoir commis des crimes contre l’humanité n’était qu’une gifle pour la société BAYER. Seulement quelques années plus tard, Ter Meer était sorti de prison et de retour en tant que président de votre Conseil d’administration. À cette époque, l’entreprise, encore une fois, était devenue un fleuron de l’industrie allemande de l’après-Seconde Guerre mondiale.
Au cours du dernier demi-siècle, votre entreprise s’est assuré que la protection et l’expansion de ses activités d’exportation de produits pharmaceutiques était l’objectif principal de tous les gouvernements de la République Fédérale d’Allemagne de l’après-Seconde Guerre mondiale. Grâce à des structures politiques telles que l’UE de Bruxelles et les Nations Unies, comme mentionné ci-dessus, vous avez fait de l’Allemagne, une fois de plus, le plus grand pays exportateur mondial de médicaments brevetés.
Vous avez sacrifié la vie de millions de personnes en supprimant systématiquement la recherche en santé naturelle et les approches de santé naturelle à travers le monde, dans le cadre de votre stratégie commerciale mondiale
Maintenant, en janvier 2020, vous apprenez que tous ces efforts ont été vains. Vous vous rendez compte que la stratégie de dix ans visant à faire taire la santé naturelle s’effondre et que les plus grands instituts de recherche du monde sont en conflit ouvert avec vos intérêts corporatifs.
Vous savez aussi que si vous n’agissez pas maintenant, toute votre entreprise, vos investisseurs et vos dirigeants, y compris l’armée de lobbyistes que vous maintenez en politique, les médias et la médecine seront tenus légalement responsables de sacrifier directement ou indirectement la vie de millions de personnes et d’infliger des dommages de l’ordre de plusieurs milliards de dollars à essentiellement toutes les nations au cours du siècle dernier.
Dans cette situation, vous considérez vos options.
Fondée en 1863, Bayer était tout simplement la première multinationale pharmaceutique du monde et le fleuron de la plus grande nation exportatrice de médicaments actuellement. Le scénario du « faire ou mourir », tel qu’il se présente à ce moment précis de l’histoire, ne se limite évidemment pas à la société BAYER. Ce qui est en jeu, c’est l’avenir tout entier de l’entreprise d’investissement pharmaceutique opérant à l’échelle mondiale et représentant plusieurs milliards de dollars.
Tout comme lors de la préparation de la dernière tentative de conquête du monde par votre entreprise dans les années 1930 et 1940, vous pourriez envisager d’utiliser les quelque 400 filiales/consolidations du groupe Bayer dans près de 90 pays du monde pour coordonner votre prochaine tentative de conquête du monde sous le « prétexte » de lutter contre la pandémie.
4. Faire ou mourir pour l’activité d’investissement pharmaceutique
Comme mentionné ci-dessus, l’industrie pharmaceutique n’est pas une industrie naturelle, elle a été créée artificiellement pour investir dans les maladies en tant que marchés pour les médicaments synthétiques brevetés. Dès le début, il était clair que cette industrie ne pouvait réussir que si elle supprimait stratégiquement les alternatives de santé naturelles non brevetables. À cette fin, pendant près d’un siècle, les grands groupes financiers des deux côtés de l’Atlantique ont construit un barrage stratégique d’information qui restreint la communication de la recherche, de l’éducation et de la mise en œuvre de la santé naturelle basée sur la science dans les soins de santé et la médecine au niveau mondial..
La loi de 1994 sur la santé et l’éducation en matière de compléments alimentaires, mentionnée ci-dessus, a provoqué les premières fissures importantes dans ce barrage stratégiquement érigé. Malgré tous les efforts déployés pour renverser cette loi, ces fissures ont continué à s’élargir et – surtout au cours de la dernière décennie – un flot d’informations scientifiques sur la santé naturelle a atteint tous les domaines de la médecine et de la santé humaine.
Ce flot croissant d’informations sur la santé naturelle est devenu une menace existentielle pour l’activité d’investissement pharmaceutique créée artificiellement. Pour les investisseurs et les dirigeants de cette entreprise, les conséquences sont claires:
Imaginez…
Imaginez le courroux et la colère:
Une telle évolution prévisible n’aurait qu’un seul parallèle dans l’histoire : il y a un demi-millénaire, les peuples d’Europe, puis d’autres continents, ont réalisé qu’ils avaient été maintenus dans un analphabétisme délibéré pendant des siècles dans le seul but de nourrir la cupidité insatiable de leurs puissants dirigeants dans le système féodal médiéval.
Face à une menace existentielle similaire pour leurs intérêts mondiaux de plusieurs milliards de dollars, les groupes d’investissement pharmaceutique actuels et leur armée de lobbyistes dans la politique, les médias et la médecine sont unis dans un effort mondial pour empêcher une telle évolution.
Les conclusions de cette analyse devraient être évidentes pour tout le monde : un modèle économique basé sur la suppression systématique d’informations sur la santé naturelle permettant de sauver des vies et qui partage la responsabilité de la souffrance et de la mort de centaines de millions de personnes ne peut pas survivre dans une démocratie.
L’avenir tout entier de l’activité d’investissement pharmaceutique dépend de la prise sans délai des mesures décisives suivantes :
De cette façon, le secteur de l’investissement pharmaceutique pourrait non seulement poursuivre son modèle commercial douteux, mais – dans un bouleversement complet de la réalité – se présenter comme le sauveur de l’humanité et les « nouveaux dieux » du 21e siècle.
Ce scénario est précisément ce à quoi le monde assiste actuellement et ce que vous, M. Guterres, avez critiqué à juste titre dans votre récent discours devant le Conseil des Droits de l’Homme comme étant un agenda obscur derrière l’actuelle pandémie de coronavirus.
6. Conspiration ou économie
Dans certaines régions du monde, notamment en Asie de l’Est, la pandémie de coronavirus semble s’être résorbée et la vie sociale est largement revenue à la normale. Cela est dû – du moins en partie – à un régime riche en micronutriments provenant de plantes et d’aliments marins typiques de ces régions. En revanche, d’autres régions du monde, dont une grande partie de l’Europe et de l’Amérique, sont confrontées à des restrictions de plus en plus nombreuses qui touchent tous les aspects de la vie économique et sociale.
Les conséquences dévastatrices pour les petites et grandes entreprises et la restriction massive des droits de l’homme fondamentaux ont ébranlé les systèmes de croyance de millions de personnes et ont donné lieu à des confusions et des spéculations sur d’éventuelles conspirations « d’intérêts étrangers » derrière la pandémie de coronavirus.
L’explication est pourtant beaucoup plus simple : ce ne sont pas des forces mystérieuses, mais des intérêts économiques massifs qui sont derrière cette évolution. Ce qui est en jeu aujourd’hui, c’est l’avenir d’une industrie qui, déjà avant l’avènement du marché des vaccins contre le coronavirus, tirait de la vente de médicaments brevetés un revenu annuel de plus d’un de trois milliards de dollars par jour.
Dans les principaux pays exportateurs de médicaments, ces intérêts ont envahi et influencé des pans entiers de la société, des soi-disant experts scientifiques aux médias et à la politique, qui sont tous devenus, au cours des dernières décennies, professionnellement ou économiquement dépendants des investissements pharmaceutiques. Aucun parti politique n’est arrivé au pouvoir dans ces pays sans le soutien financier de ces entreprises. Par conséquent, ils sont, actuellement tous appelés aux armes pour sauver ces sponsors.
Si c’est le cas dans tous les grands pays exportateurs de médicaments, un pays est particulièrement touché. L’Allemagne est le seul État de l’après-guerre qui s’est essentiellement construit autour de ces intérêts d’investissement spécifiques. Les faits donnent à réfléchir : L’Allemagne, un pays qui se classe au 63e rang de la liste mondiale par la taille, avec peu de ressources naturelles, a été la première nation exportatrice du monde pendant des décennies. Il n’est pas nécessaire d’être diplômé en économie pour comprendre qu’un tel écart ne peut s’expliquer que par le fait que la réussite économique de ce pays s’est construite aux dépens de nombreuses autres nations.
L’exportation de produits pharmaceutiques brevetés étant l’un des piliers de cette réussite économique, les intérêts commerciaux de l’Allemagne – et ses acteurs politiques – ont été responsables de la promotion de « l’investissement dans la maladie » sur notre planète. Depuis des décennies, la misère physique et économique de centaines de millions de personnes dans le monde est un facteur majeur de la prospérité de l’économie allemande.
Ainsi, partout où les représentants politiques de l’Allemagne expriment aujourd’hui leurs opinions, que ce soit au sein des Nations Unies, de l’Union Européenne ou d’autres organismes internationaux, ils servent, partout, essentiellement ces intérêts corporatistes. Comme nous l’avons déjà mentionné, une façon privilégiée pour ces intérêts de fonctionner est de cacher leurs intérêts économiques derrière la façade de ces organismes internationaux.
7. Explication de la pandémie de coronavirus dans les prochains livres d’histoire
Tous les phénomènes actuellement observés par l’humanité et associés à la pandémie de coronavirus peuvent maintenant être logiquement expliqués. Il s’agit notamment:
Avec le temps, l’actualité autour de la pandémie de coronavirus fera l’objet de cours d’histoire dans les écoles du monde. Ils seront caractérisés comme suit::
Dans certaines régions du monde, notamment en Asie de l’Est, la pandémie de coronavirus semble s’être résorbée et la vie sociale est largement revenue à la normale. Cela est dû – du moins en partie – à un régime riche en micronutriments provenant de plantes et d’aliments marins typiques de ces régions. En revanche, d’autres régions du monde, dont une grande partie de l’Europe et de l’Amérique, sont confrontées à des restrictions de plus en plus nombreuses qui touchent tous les aspects de la vie économique et sociale.
Les conséquences dévastatrices pour les petites et grandes entreprises et la restriction massive des droits de l’homme fondamentaux ont ébranlé les systèmes de croyance de millions de personnes et ont donné lieu à des confusions et des spéculations sur d’éventuelles conspirations « d’intérêts étrangers » derrière la pandémie de coronavirus.
L’explication est pourtant beaucoup plus simple : ce ne sont pas des forces mystérieuses, mais des intérêts économiques massifs qui sont derrière cette évolution. Ce qui est en jeu aujourd’hui, c’est l’avenir d’une industrie qui, déjà avant l’avènement du marché des vaccins contre le coronavirus, tirait de la vente de médicaments brevetés un revenu annuel de plus d’un de trois milliards de dollars par jour.
Dans les principaux pays exportateurs de médicaments, ces intérêts ont envahi et influencé des pans entiers de la société, des soi-disant experts scientifiques aux médias et à la politique, qui sont tous devenus, au cours des dernières décennies, professionnellement ou économiquement dépendants des investissements pharmaceutiques. Aucun parti politique n’est arrivé au pouvoir dans ces pays sans le soutien financier de ces entreprises. Par conséquent, ils sont, actuellement tous appelés aux armes pour sauver ces sponsors.
Si c’est le cas dans tous les grands pays exportateurs de médicaments, un pays est particulièrement touché. L’Allemagne est le seul État de l’après-guerre qui s’est essentiellement construit autour de ces intérêts d’investissement spécifiques. Les faits donnent à réfléchir : L’Allemagne, un pays qui se classe au 63e rang de la liste mondiale par la taille, avec peu de ressources naturelles, a été la première nation exportatrice du monde pendant des décennies. Il n’est pas nécessaire d’être diplômé en économie pour comprendre qu’un tel écart ne peut s’expliquer que par le fait que la réussite économique de ce pays s’est construite aux dépens de nombreuses autres nations.
L’exportation de produits pharmaceutiques brevetés étant l’un des piliers de cette réussite économique, les intérêts commerciaux de l’Allemagne – et ses acteurs politiques – ont été responsables de la promotion de « l’investissement dans la maladie » sur notre planète. Depuis des décennies, la misère physique et économique de centaines de millions de personnes dans le monde est un facteur majeur de la prospérité de l’économie allemande.
Ainsi, partout où les représentants politiques de l’Allemagne expriment aujourd’hui leurs opinions, que ce soit au sein des Nations Unies, de l’Union Européenne ou d’autres organismes internationaux, ils servent, partout, essentiellement ces intérêts corporatistes. Comme nous l’avons déjà mentionné, une façon privilégiée pour ces intérêts de fonctionner est de cacher leurs intérêts économiques derrière la façade de ces organismes internationaux.
7. Explication de la pandémie de coronavirus dans les prochains livres d’histoire
Tous les phénomènes actuellement observés par l’humanité et associés à la pandémie de coronavirus peuvent maintenant être logiquement expliqués. Il s’agit notamment:
Avec le temps, l’actualité autour de la pandémie de coronavirus fera l’objet de cours d’histoire dans les écoles du monde. Ils seront caractérisés comme suit::
Tous les phénomènes actuellement observés par l’humanité et associés à la pandémie de coronavirus peuvent maintenant être logiquement expliqués. Il s’agit notamment:
Avec le temps, l’actualité autour de la pandémie de coronavirus fera l’objet de cours d’histoire dans les écoles du monde. Ils seront caractérisés comme suit::
Les Nations Unies, vous en tant que Secrétaire général, tous les décideurs politiques dans le monde – en fait chaque personne – ont besoin d’une raison convaincante pour agir. Si les arguments de cette lettre ouverte n’étaient pas suffisants pour vous convaincre d’agir, Monsieur Guterres, je vous donnerai mes raisons pour lesquelles j’ai décidé de partager cette information avec le monde entier.:
En résumé, je fournis ces informations au monde entier pour empêcher la poursuite des génocides commis au nom des intérêts des entreprises – y compris ceux qui les ont commis sous le « prétexte » de lutter contre une pandémie. Car si nous n’apportons pas le courage d’exposer les intérêts des entreprises maintenant et que nous ne nommons pas leurs parties prenantes politiques, ces génocides se poursuivront et se nourriront des générations à venir.
L’humanité se trouve à la croisée des chemins. La crise actuelle constitue une occasion unique pour toute l’humanité de :
Vers cet objectif, chacun partage ses responsabilités
2. Le rôle des peuples du monde
Le rôle le plus important pour mettre fin à la pandémie actuelle est celui des peuples du monde eux-mêmes. Pour atteindre cet objectif, tout doit être fait pour exploiter le potentiel humain. On n’a pas besoin d’être médecin ou professionnel qualifié de la santé – tout le monde peut comprendre:
La Déclaration d’Alma Ata de 1978 de l’Organisation Mondiale de la Santé a déclaré que la « santé pour tous » dans le monde entier ne peut être réalisée qu’en mettant l’accent sur la prévention et , en même temps, en s’assurant que non seulement les professionnels de la santé, mais tous les gens, s’impliquent dans le partage des responsabilités en matière de santé personnelle et communautaire. La crise actuelle exige la mise en œuvre de ces principes. Tout le monde peut comprendre, et tout le monde peut participer!
3. Les tâches politiques mondiales les plus urgentes:
Le rôle le plus important pour mettre fin à la pandémie actuelle est celui des peuples du monde eux-mêmes. Pour atteindre cet objectif, tout doit être fait pour exploiter le potentiel humain. On n’a pas besoin d’être médecin ou professionnel qualifié de la santé – tout le monde peut comprendre:
La Déclaration d’Alma Ata de 1978 de l’Organisation Mondiale de la Santé a déclaré que la « santé pour tous » dans le monde entier ne peut être réalisée qu’en mettant l’accent sur la prévention et , en même temps, en s’assurant que non seulement les professionnels de la santé, mais tous les gens, s’impliquent dans le partage des responsabilités en matière de santé personnelle et communautaire. La crise actuelle exige la mise en œuvre de ces principes. Tout le monde peut comprendre, et tout le monde peut participer!
.Compte tenu de la suppression stratégique, depuis un siècle, de l’information sur les bienfaits des vitamines et d’autres approches de santé naturelles fondées sur la science, l’objectif suivant est clair : faire du libre accès aux approches de santé naturelles fondées sur la science un droit de l’homme. Déclarer ce droit fondamental, l’ajouter à la charte des droits de l’homme des Nations unies et en faire une loi contraignante dans tous les pays membres de l’ONU, est la seule façon de protéger les générations actuelles et futures des pandémies et autres conséquences sanitaires fatales.
L’explosion de la recherche en santé naturelle au cours des dernières décennies a constamment montré que les molécules biologiques dérivées des plantes sont égales – et dans de nombreux cas supérieures – aux médicaments pharmaceutiques synthétiques. De plus, contrairement aux médicaments synthétiques brevetés, ces molécules naturelles sont sans danger. La recherche scientifique et clinique établissant les bienfaits des micronutriments pour la santé a atteint essentiellement toutes les disciplines de la médecine. Ainsi, malgré une certaine résistance du statu quo, la santé nutritionnelle et la médecine naturelle représentent déjà aujourd’hui la base future des soins de santé préventifs.Le mur artificiel entre l’alimentation et les médicaments, créé par l’activité d’investissement pharmaceutique pour protéger ses marchés mondiaux avec des médicaments brevetés, va tomber. La médecine englobera pleinement les molécules naturelles dérivées des plantes, essentielles au métabolisme cellulaire optimal et, par conséquent, à la prévention des maladies. L’agriculture dans son ensemble ne se concentrera plus seulement sur la fourniture de nourriture aux populations du monde afin de prévenir la faim dans le monde. Les agriculteurs du monde entier deviendront des pourvoyeurs de la médecine moderne en cultivant des plantes ayant des bienfaits prouvés pour la santé, à l’échelle industrielle..Le lien étroit entre les micronutriments d’origine végétale, la fonction cellulaire optimale et la prévention des maladies deviendra un sujet essentiel à tous les niveaux d’éducation. Des jardins scolaires et communautaires seront établis dans toutes les villes et villages de la planète.De telles initiatives locales de jardinage deviendront la pierre angulaire d’un système de soins de santé préventifs efficace à l’échelle mondiale. Pour l’ensemble du monde en développement, cette stratégie sera le seul moyen d’assurer une santé efficace, sûre, abordable et durable à des centaines de millions de personnes vivant dans ces régions du monde. Pour les Nations Unies, cette voie sera le seul moyen raisonnable de tenir sa promesse faite au monde il y a des décennies de fournir la «santé pour tous ».Par-dessus tout, cette voie permettra à l’ONU d’atteindre l’objectif ultime pour lequel elle a été fondée il y a trois quarts de siècle : combler l’écart entre pays pauvres et pays riches par rapport aux besoins les plus fondamentaux de la vie, permettre à des centaines de millions de personnes vivant aujourd’hui dans des conditions défavorisées de pouvoir enfin vivre une vie digne – et , ainsi, apporter une contribution décisive à la préservation de la paix dans le monde.
Le but des initiatives de jardinage est d’éducation des enfants ainsi que les membres de la communauté du monde sur les bienfaits des fruits et légumes pour la santé. Les enfants de n’importe quel pays du monde peuvent en apprendre davantage sur les bienfaits des fruits et légumes pour la santé dans les salles de classe et aussi les planter dans les jardins scolaires.À cette fin, notre fondation a lancé le projet « Movement of life» en Afrique. Les écoliers de tous âges en apprennent davantage sur les bienfaits pour la santé des fruits et légumes cultivés localement, planifient et entretiennent les jardins scolaires par le biais du « parlement scolaire de la santé », inspirent le jardinage communautaire dans les villages reculés où vivent leurs familles et contribuent à améliorer la santé de régions entières. Les détails de ces programmes sont disponibles sur www.movement-of-life.org. Cette initiative réussie peut servir de projet pilote pour les Nations Unies et devrait être étendue à toutes les nations sans délai.
Je fais un appel à vous appelle, en tant que Secrétaire Général des Nations Unies, à
Pour m’assurer que cet objectif est atteint dans un avenir prévisible, j’appelle tous les citoyens du monde entier à se joindre à un effort mondial en faveur d’un monde sans maladie!
Haute Considération,
Dr. Matthias Rath
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